Arrivée .... [Libre]

Hum... me voilà donc dans cette fameuse école pour les fous, comme le dit ma m.... cette femme. Je m'avançe, ma valise et mon sac dans les deux mains. Bref, la galère. En plus, le chemin du grillage à la porte est vachement long. Je vais mourir, écrasé par ma valise, avant d'avoir atteint l'entrée.

Je m'avançe dans l'entrée, très ... rouge. Je vit un jeune homme de dos. Des cheveux d'un rose clair ôrnent sa tête. Il était assez grand, plus que moi en tout cas. Il est plutôt bien batî, de dos. J'ai hâte de voir de face. Je me mord la lèvre inférieur, pensivement. Ah, je me demande si il m'a entendu arriver. Et là, catastrophe, mon portable vibre dans ma poche. Je sursaute et fait tomber ma valise et comme je suis très douée, je me retourne et mon sac, bien plus lourd que moi, pèse sur mon bras et m'entraîne direction ... le sol !

*Adieu monde cruel*

Finalement l'impact ne se fit pas. Le beau jeune homme que j'avais observé il y a quelques instant, c'est comment dire, précipité à mon secours. Je pus enfin voir son visage. J'en eu presque le souffle coupée. Une beauté à tomber par terre, ce qui était un peu le cas maintenant, mais bref. Il avait un visage angélique mais son sourire était tout sauf angélique. Ses cheveux d'un rose pale se mélangeait très bien avec son teint pâle. Ses traits étaient très bien taillée. Et elle put sentir sa muculature bien développé quand il la serra contre lui. Il avait aussi attrapé mon sac. Quel galanterie !

"Un probléme ?" me dit-il

Il rigolait. Son visage était si proche du mien. Ses lèvres étaient si proche des miennes. Allez, on se retient. Et merde. Il me fit un sourire lumineux qui m'acheva. Alors qu'il commençait à me relever, je ne pus me retenir plus longtemps. Mes lèvres se collèrent aux siennes.

Je sentit les lèvres du jeune homme répondre au baiser que je lui avait infligé. Il prenait clairement le dessus sur moi. Et comme, il avait l'air vraiment compétent, il réussi à me remonter en même tant. Bref, la classe. Il rompit le baiser et mit un de ses doigts sur mes lèvres tout en souriant.

"Maintenant on embrasse les inconnus ? Même sans les connaître et ni dire bonjour ?" me dit-il d'une voix chantante.

Il ressemblait au tout pour tout à un ange, mais son air charmeur le contredisait. Il se rapprocha de moi. Mon corps commece à s'emballer, c'est lui qui allait réagir àma place si ça continuait comme ça. Il put me murmurer à l'oreille:

"Bonjour ... moi c'est Romain et vous ?"

Et là, c'est la catastrophe. Il commença à m'embrasser dans le cou. Des frissons secouèrent tout mon corps. Puis il se recula. C'est pas gentil de faire ça mon garçon ! Mais moi aussi je peux jouer. Son doigt étant toujours sur ma bouche, je lui pris et commence à mordiller légèrement le bout du doigt.

"Je m'appelle Angélia." dis-je d'une voix enfantine et innocente.

Puis je me rapproche de lui et lui mordille légèrement le lobe de son oreille droite.

"Veuillez excusez mon impolitesse" lui soufflais-je.

En me reculant, je frôle de mes lèvres sa joue. Puis je part sur le côté, observant les alentours, faisant mine de m'intéresser plus au décors qu'à lui.

Alors que j'observais le couloir qui me faisait face, me demandant si quelqu'un avait vraiment fait une école de cet endroit, je l'entendis parler de sa voix chantante mais charmeuse:

"Il ne faut pas ronger les ongles des personnes voyons ..."


Je laissa échapper un rire. Et lui aussi d'ailleurs. Alors que j'étais plongé dans mes pensées, me demandant quel tactique j'allais utiliser pour mettre Romain dans mon lit, bien qu'il n'allait pas être dur a convaincre, j'entendis des pas, puis je vis ma valise se poser à côté de moi, alors que je tournais la tête vers celle-ci, je sentis une caresse au bas de mon dos. je tournais la tête et le vis se diriger vers un canapé. Finalement ça ne vas pas être si dur pour le convaincre, mais je préfère jouer pour le moment. Je m'approche de Romain tout doucement et m'asseoit à califourchon sur lui. Je colle mon bassin au sien et me penche vers son oreille.

"Cela vous tente de faire plus ample connaissance avec moi, Romain ..." lui souffle-t-elle.

Je commence ensuite à lui mordiller le lobe de l'oreille tout en faisant glisser mes mains sur ces hanches, effleurant sa peau.

Je le sentis me soulever, et me reposer à côté de lui. Ah lui aussi il aimait jouer, tant mieux, cela rendait la partie encore plus amusante.

"Je ne suis pas un banc désolé ... Et faire connaissance ? On a tout le temps ...." me dit-il en riant

Il s’assoit ensuite sur la chaise en face de moi. Je fis une moue boudeuse. Tu veux jouer ? On va jouer ! Je le vis regarder la pièce autour de lui. C'était lugubre et rien de bien intéressant. Puis il me regarde de nouveau.

"A vous de racontez votre histoire ..." me dit-il

Je le regardais longuement avant de répondre. Un dilemme s’impose à mon esprit : je dis la vérité ou pas ? Allez, autant ne pas mentir dès le départ. Cela ferait mauvais genre.

« Et bien… je ne voudrais surtout pas te choquer … Je suis nymphomane. Mon problème, c’est que je veux coucher avec n’importe qui sans le vouloir réellement. Mais je ne me plains pas, cela aurait pu être pire, non ? »

J’eu un sourire léger, je le regardais dans les yeux. Je passe ma langue sur mes lèvres et me mordille la lèvre inférieure, essayant de me contenir.

« Donc je m’excuse de mon comportement au moment ou nous nous sommes croisées. Je ne me contrôle pas. » Foutaise, je savais parfaitement contrôler mon problème quand je le voulais. Je lui souris « Et toi, pourquoi es-tu ici ? »

Je le vis se lever en souriant, son fameux sourire charmeur, et s'approcher de moi. Il se mit à ma hauteur, donc il se mità genoux puisque je suis assise. Je pouvais sentir son haleine qui dégageait une odeur de menthe.

"Je suis un accro de la chaire ... la chaire du plaisir au sang ... et j'aime manipuler:" me dit-il

Il m'embrassa par la suite sur le nez et se releva. Il se rassit en face de moi et me regarda . Une lueure amusée planait dans son regard. Je fis une moue boudeuse. Accro à la chaire du plaisir juqu'au sang, hein ? Manipulateur ? Tu ne crois qu'en même pas me faire peur, Romain ? Je me lève et regarde autour de moi.

" Je me demande si les chambres et les douches sont mixtes ,ici Cela t'intéresserais je suppose, non ?" dis-je en regardant Romain par dessus mon épaule, lui faisant un sourire innocent.

Je regardais ensuite un tableau au dessus de là où j'étais assise auparavant.

Je sourit amuser , et je m'approchait d'elle mettant , me mettant derriere elle , un bras autour de son buste et je lui soufflat dans l'oreille;

Si j'ai une partenaire ... pourquoi pas ! et toi sa t'intéresse ?"

Puis l'embrassat dans le cou , enlavant son bras et restat derriere elle , un sourire au lèvres , puis il pris un bonbon a la menthe , qu'il mit dans la bouche , et se rassit .
Il mit ses jambes l'une a côter de l'autre la fixant .

HS=> Pas d'inspi TT

[HS: ça va ? c'est pas trop ... voila quoi xD Dis le moi sinon je change =D]


Même de dos, je savais que Romain souriait à ma question, il commençait à être prévisible mais tellement charmant. Je ne sais pas si je vais arriver à résister encore longtemps contre mon « handicap ». Plongé dans ma réflexion, je n’en sortie qu’en entendant des bruits de pas derrière moi. Romain se mit derrière moi et m’entoura le buste d’un de ses bras musclé.

« Si j'ai une partenaire ... pourquoi pas ! et toi sa t'intéresse ?" me souffla-t-il à l’oreille.

Puis son souffle sur mon cou jusqu’à être remplacé par ses lèvres, je me mord la lèvre inférieur. Il savait si prendre pour faire plaisir aux femmes. Puis, me laissant dans mon éternelle manque il enleva son bras, j’entendis un bruit de papier à bonbon, puis une odeur de menthe remonta jusqu'à mon organe sensoriel : un bonbon à la menthe. Je l’entendis se rasseoir. Je me retourne. Il me fixait. Je lui souris innocemment, répondant à sa question.

« Hum… cela dépend du partenaire. Il faut qu’il soit doué… » Dis-je mystérieusement.

Je m’assis en face de lui. Je sentis ma jupe se remonter comme une grande sur mes cuisses. Le tissu était trop léger pour rester en place. Je me penche légèrement en avant, laissant entrevoir mon décolleté et écarta tout aussi légèrement et élégamment mes jambes, ramenant mes pieds sous ma chaise. Je me demande bien comment je fais pour ne pas tomber en avant.

« Tu crois qu’on doit attendre longtemps ici ? On ne devrait pas visiter ? On tombera peut être sur quelqu’un ou bien sur … nos chambres… » Rajoutais-je tout aussi innocemment.

Je fis une moue boudeuse tout en le fixant, attendant sa réponse.